Les anarchistes de l’Aisne

Grève à la fonderie du Familistère de Guise (Aisne). 29 mai 1886

Le Familistère de Guise (Aisne) : un monument d’autoritarisme. 12 juin 1886

Les anarchistes et le familistère. La réponse du Devoir(1). 20 juin 1886

Pour les anarchistes, le Familistère de Guise s’est paré de l’étiquette de socialisme expérimental, pour exploiter les travailleurs. 26 juin 1886

Les anarchistes et le familistère de Guise. La réponse du Devoir (2). 27 juin 1886

Les anarchistes et le Familistère de Guise. La réponse du Devoir (3). 4 juillet 1886

Les anarchistes et l’association du Familistère par André Godin. 11 juillet 1886

Le Familistère de Guise (Aisne) et l’anarchie. 24 juillet 1886

Lettre d’une victime du Familistère de Guise (Aisne). 24 juillet 1886

Les anarchistes ont-ils tenté d’incendier l’usine Godin à Guise ? 15 août 1886

Du Familistère de Guise (Aisne) par Jules Sibilat. 2 septembre 1886

Meetings à Guise et Saint-Quentin (Aisne) de Tortelier et Devertus. 27 avril 1887

L’anarchiste Alphonse Bal assiste à son procès devant la cours d’assises de l’Aisne, tout en faisant défaut et se laisse condamner à un an de prison. 10 août 1887

L’affaire de l’usine Sichel. Saint-Quentin (Aisne). Août 1887

Guise (Aisne) : Godin licencie l’anarchiste Bal. Septembre 1887

Conférence anarchistes à Guise (Aisne).7 septembre 1887

Création d’un groupe anarchiste à Guise (Aisne) et licenciement de Bal par le Familistère de Guise. 20 oaût et 17 septembre 1887

A Guise (Aisne),Godin baisse les salaires, des placards anarchistes menacent de mort la direction. 24 septembre 1887

Copie d’une proclamation de l’anarchiste Bal, renvoyé de l’usine Godin (Aisne). 2 octobre 1887

Les anarchistes Mathieu, Jason et Basse ont été emmenés à pied et enchaînés de Guise à Vervins (Aisne), ville distante de 25 kilomètres. 8 octobre 1887

Encore deux autres anarchistes licenciés du Familistère de Guise. 15 octobre 1887

Les « valets » de Godin mis en ballotage à Guise par les ouvriers mécontents ». Novembre 1887

Assises de l’Aisne : Affaire Devertus, Massey et Bal. 14 novembre 1887

Fonderie Godin à Guise : ce sont les pauvres diables qui paient les bêtises de leur directeur ! Novembre 1887

L’anarchiste Devertus poursuit ses meetings, malgré une condamnation à un an de prison. 30 novembre 1887

Godin à Guise : « sommes-nous donc obligés d’entretenir sept ou huit parasites ? » 10 décembre 1887

Exploités de l’usine Godin. Prière à M. Godin 17 décembre 1887

Meeting avec Gustave Mathieu à Morlanwelz (Belgique). 18 décembre 1887

Le procureur général ne poursuit pas Mathieu pour ses propos tenus au meeting de Morlanwelz (Belgique). 28 décembre 1887

Gustave Mathieu licencié de chez Godin, crée un groupe anarchiste à Morlanwelz (Belgique). 31 décembre 1887

Les anarchistes Mathieu et Basse en meeting près de Morlanwelz (Belgique). 8 janvier 1888

Gustave Mathieu à Carnières (Belgique) : « les bourgeois et les gouvernants sont des voleurs vivant du travail du pauvre peuple ». 8 janvier 1888

Les anarchistes Mathieu et Basse entonnent « La dynamite » avec 250 personnes lors du meeting à Carnières (Belgique). 8 janvier 1888

Le commissaire de police de Carnières (Belgique) a perdu la trace de Mathieu et Basse. 22 janvier 1888

Familistère Godin à Guise : « comment l’on est dupé dans cet éden du travail ». 5 février 1888

Godin : crapules, canailles et compagnie. 7 avril 1888

Les anarchistes, au Cirque de Saint-Quentin (Aisne). 10 octobre 1888

Meeting anarchiste à Guise le 6 octobre 1888 : « le Familistère est une blague inventée par Godin »

800 personnes à un meeting en plein air de Louise Michel à Guise (Aisne). 28 octobre 1888

800 personnes assistent à un meeting de Gustave Mathieu et Sébastien Faure à Guise (Aisne). 5 octobre 1889

Gustave Mathieu condamné à 24 h de prison, pour avoir organisé une réunion anarchiste à Guise (Aisne) sans l’autorisation du maire. 25 octobre 1889

Arrestation de l’anarchiste Massey en prévision du 1er mai 1890

Conférence de Brunet et Massey à Saint-Quentin (Aisne) le 23 août 1890

L’information judiciaire contre Laurent Massey pour provocation au meurtre et provocation de militaires à la désobéissance. 29 août 1890

Les anarchistes de Saint-Quentin perturbent un meeting socialiste. 9 septembre 1890

Bagarre entre socialistes et anarchistes à un meeting de Martinet à Saint-Quentin. 16 septembre 1890

L’anarchiste Laurent Massey condamné à 6 mois de prison, par la cour d’assises de l’Aisne. 3 novembre 1890

Affrontement verbaux et physiques entre socialistes et anarchistes à propos du 1er mai. 21 avril 1891

Georges Brunet vient organiser le 1er mai avec les socialistes à Saint-Quentin (Aisne). 30 avril 1891

Georges Brunet arrêté et condamné à 15 mois de prison à l’occasion du 1er mai à Saint-Quentin (Aisne). 5 mai 1891

La peine de prison de Georges Brunet réduite en appel de 15 mois à 6 mois de prison, pour la manifestation du 1er mai 1891 à Saint-Quentin. 30 mai 1891

Pol Martinet condamné à 15 mois de prison par la cour d’assises de l’Aisne. 1er février 1892

Le colporteur de journaux anarchistes Emile Hamelin arrêté à Saint-Quentin (Aisne). 17 mars 1892

Arrestation de l’anarchiste Léon Lavabre, licencié du Familistère de Guise (Aisne). 23 avril 1892

Neuf anarchistes arrêtés à Saint-Quentin (Aisne). 26 avril 1892

Le préfet de l’Aisne demande au parquet de Saint-Quentin de ne pas libérer, avant le 1er mai, les anarchistes arrêtés. 26 avril 1892

Tanton et les frères Allard, anarchistes de Saint-Quentin sont en fuite. 26 avril 1892

Fortuné Henry en meeting à Saint-Quentin (Aisne) devant plusieurs centaines d’auditeurs. 26 avril 1892

Quatre anarchistes arrêtés à Saint-Quentin (Aisne). 27 avril 1892

Affichage à Laon (Aisne) de placards menaçant de mort les juges, magistrats, députés, officiers ministériels et « toute la clique ». 2 mai 1892

Le juge d’instruction et le procureur de la république d’accord pour libérer les anarchistes de Saint-Quentin (Aisne), malgré l’opposition du ministère de la justice. 2 mai 1892

Le juge d’instruction libère les anarchistes de Saint-Quentin, le procureur de la république est sanctionné pour ne pas s’y être opposé. 5 mai 1892

Selon Pol Martinet : « Il n’y a pas seulement la queue d’un anarchiste à Laon ». 12 mai 1892

Pol Martinet condamné à un an de prison par la cours d’assises de l’Aisne. 12 mai 1892

Léon Lavabre de Guise (Aisne), inculpé d’association de malfaiteurs déclare ne pas être anarchiste. 15 mai 1892

Rafles d’anarchistes à Saint-Quentin (Aisne). 22 avril et 16 mai 1892

Lavabre Léon, Armand, âgé de 24 ans, mouleur, demeurant à Guise (Aisne), inculpé d’affiliation à une association de malfaiteurs. 17 juin 1892

La compagne anarchiste Eliska en meeting à Saint-Quentin (Aisne). 31 août 1892

Fortuné Henry condamné par défaut par la cour d’assises de l’Aisne. 19 novembre 1892

Henry Dupont condamné, par défaut, à 2 ans de prison par la cours d’assises de l’Aisne. 19 novembre 1892

Eugène Renard dit Georges, Georges Brunet et Zéphir Ballenghein en meeting à Saint-Quentin (Aisne). 24 janvier 1893

L’anarchiste Henri-Charles Dubois de Saint-Quentin, condamné à deux ans de prison pour fabrication de fausse monnaie, par la cour d’assises de l’Aisne. 6 février 1893

L’arrestation de Gustave Mathieu. 30 mars 1893

L’anarchiste Massey, de Saint-Quentin, condamné à deux mois de prison, par la cour d’assises de l’Aisne, pour outrage à l’armée. 7 août 1893

Gustave Mathieu, accusé de vol est acquitté par la cour d’assises de l’Aisne. 9 août 1893

L’anarchiste Gustave Mathieu devant la Cour d’appel d’Amiens. 24 novembre 1893

L’anarchiste Gustave Mathieu se fait interviewer durant une suspension d’audience de son procès en appel à Amiens. 24 novembre 1893

Groupe des libertaires de Saint-Quentin. 20 décembre 1893

Les abonnés de la Révolte et du Père Peinard dans l’Aisne.

Saisie de journaux anarchistes à Chauny, Ternier, Saint-Quentin (Aisne). 21 décembre 1893

Un millier d’anarchistes à Saint-Quentin (Aisne) au moment de la rafle du 1er janvier 1894 ?

30 anarchistes de Guise et Saint-Quentin (Aisne), perquisitionnés sans résultat. 1er janvier 1894

Perquisition chez l’anarchiste Lavieille à Saint-Quentin ou à Guise (Aisne). 1er janvier 1894

Les anarchistes de l’Aisne arrêtés le 19 février 1894, sont remis en liberté provisoire, sauf trois d’entre eux.

Perquisitions et arrestations d’anarchistes à Saint-Quentin. 20 février 1894

Saint-Quentin (Aisne) foyer anarchiste de 44 militants. 28 février 1894

Les anarchistes de Saint-Quentin relâchés. 13 mars 1894

Les anarchistes Gonnier et Boulanger condamnés pour outrages et rébellion par le tribunal correctionnel de Saint-Quentin (Aisne). 15 mars 1894

Les anarchistes Albaret et Alavoine écoulaient de la fausse monnaie à Tupigny (Aisne). 15 avril 1894

Jean-Louis Albaret, inculpé de fabrication de fausse monnaie à Guise (Aisne) avait hébergé Gustave Mathieu. 20 avril 1894

La cour d’assises de l’Aisne condamne Alavoine et Albaret à 5 ans de prison pour fabrication de fausse monnaie. 20 août 1894

Lardaux et Vautier victimes de la loi scélérate sur les associations de malfaiteurs, condamnés au bagne. 14 novembre 1894

L’application des lois scélérates : l’affaire Lardaux et Vautier par Émile Pouget

Arthur Vautier condamné par la cour d’assises de l’Aisne à huit ans de travaux forcés, meurt aux Iles du Salut le 15 juillet 1898.