Grèves, meetings, attentats à la dynamite dans le Borinage (Belgique). Décembre 1879-janvier 1880

Le rôle de l’Internationale dans les grèves du Borinage de 1879-1880. 27 mars 1879

L’Internationale et les socialistes réformistes en concurrence chez les mineurs du Borinage. Mai-octobre 1879

Les grévistes de Cuesmes (Belgique) défilent derrière un drapeau noir et font céder la direction des charbonnages. 3 mai 1879

10.000 ouvriers à une fête organisée par la Fédération boraine à Frameries (Belgique). 14 septembre 1879

Un congrès de l’Internationale belge à Jumet est-il à l’origine des grèves de mineurs dans le Borinage ? 14 octobre 1879

L’émeute de Châtelineau (Belgique) : le socialiste réformiste Louis Bertrand s’est-il sauvé par la fenêtre du meeting ? 16 octobre 1879

L’Internationale belge réunie à Verviers (Belgique) veut lancer une grève générale des charbonnages. 19 et 23 décembre 1879

Attentats à la dynamite à Quaregnon dans le Borinage (Belgique). 24 Décembre 1879

Les grévistes mettent le feu à la maison d’un chef porion à la Bouverie, dans le Borinage (Belgique). 25 décembre 1879

Les grévistes du Borinage emploient de nouveaux moyens d’actions : les meetings et des explosions à la dynamite. 26 décembre 1879

Ferdinand Monnier appelle les grévistes du Borinage à une manifestation armée. 27 décembre 1879

Les grévistes du Borinage puissamment organisés commettent un 4e attentat. 28 décembre 1879

Attentat contre la maison d’un agent des Charbonnages à Quaraignon. 28 Décembre 1879

Explosion à la dynamite chez le porion Mahieu à Quaregnon (Belgique) pendant la grève du Borinage. 29 décembre 1879

L’attitude des anarchistes vis à vis des grèves dans le Borinage (Belgique). 28 décembre 1879

Les mineurs du Borinage obtiennent des augmentations de salaires de 10%. Une cartouche de dynamite explose chez un porion du charbonnage Crachet-Picquery. 5 janvier 1880

Un dernier attentat contre un jaune à la Bouverie, au charbonnage de l’Agrappe. 6 janvier 1880

Victoire des mineurs du Borinage (Belgique), la menace de la moindre grève permet d’obtenir des augmentations de salaire. 7 et 9 janvier 1880

Après les grèves du Borinage, les socialistes réformistes en pleine déconfiture. Janvier 1880