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Archives Mensuelles: septembre 2017

DAVID Armand, Auguste, Théophile

10 dimanche Sep 2017

Posted by fortunehenry2 in Biographies

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Né le 5 février 1867 à Gien (Loiret). Faïencier. Anarchiste de Choisy le Roi.

Metropolitan museum of art. Alphonse Bertillon. Albumens silver prints. Photographs.

Armand David demeurait 3 rue Saint Nicolas à Choisy le Roi. Il était ouvrier à la faïencerie Boulanger à Choisy. Il était l’amant d’une couturière nommée Rollin, demeurant 4 chemin de Maison Alfort à Choisy. Il fréquentait Emile Lenfant.

Le 1er mars 1894, le commissaire Rougeon de Choisy perquisitionna à son domicile dans le cadre d’une instruction pour association de malfaiteurs. Il fut arrêté et envoyé au Dépôt, puis incarcéré à Mazas et mis en liberté le 4 mai 1894.

David figurait sur des états récapitulatifs des anarchistes au 31 décembre 1894 et au31 décembre 1896.Il demeurait alors 4 chemin des Maisons à Choisy. Son dossier portait le n° 12.565 Il fut rayé de l’état des anarchistes le 11 février 1898.

SOURCES :

Arch.préf. de police Ba 1500 — Les anarchistes contre la République par Vivien Bouhey. Annexe 56 : les anarchistes de la Seine. — Le Temps 2 mars 1894 — Etat civil de Gien.

BOURGOIN Hubert, Jules

08 vendredi Sep 2017

Posted by fortunehenry2 in Biographies

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Né le 17 août 1842 à Chelles(?) (Seine et Marne). Maçon. Anarchiste de Choisy le Roi (Seine, Val de Marne).

Metropolitan museum of art. Alphonse Bertillon. Albumens silver prints. Photographs.

Jules Bourgoin demeurait 17 rue des Orvilliers à Thiais (Seine, Val de Marne). Il travaillait chez Roux, entrepreneur à Choisy le Roi. Il vivait maritalement avec la femme Jacques, veuve d’un ancien officier de la Commune qui avait des « idées exaltées » selon un rapport de police. Son logement était contigu avec celui occupé par l’anarchiste Parisot.

Il recevait chez lui les anarchistes Desjoux de Vitry (Seine, Val de Marne) et Weber demeurant 186 rue du Château des Rentiers à Paris.

Il donna asile à la compagne Marchal, concubine de Vaillant et selon un rapport de police, à la « pseudo-maîtresse de Ravachol ».

Une perquisition fut opérée à son domicile le 1er juillet 1894, elle ne donna aucun résultat. Il fut arrêté en même temps que 155 anarchistes parisiens.

Bourgoin se trouvait sur une liste de 10 anarchistes en surveillance quotidienne de la circonscription de Choisy le Roi, établie le 8 novembre 1894.

Il figurait sur un état des anarchistes au 31 décembre 1896 et demeurait 35 avenue de Srasbourg à Saint-Denis (Seine, Seine Saint Denis) et sur une liste des anarchistes après 1900, son domicile était alors 41 boulevard Félix Faure à Saint Denis, son dossier à la Préfecture de police portait le n°103.075

SOURCE :

Arch. Préf. de police Ba 1900 — Les anarchistes contre la République par Vivien Bouhey. Annexe 56 : les anarchistes de la Seine.

LENFANT Emile Jules

07 jeudi Sep 2017

Posted by fortunehenry2 in Biographies

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Né le 22 décembre 1867 à Choisy le Roi (Seine). Céramiste, célibataire. Anarchiste de Choisy le Roi.

Metropolitan museum of art. Alphonse Bertillon. Albumens silver prints. Photographs.

Emile Lenfant demeurait 8 rue de la Raffinerie, il travaillait chez Brault fils à Choisy le Roi.

Il avait pour maîtresse la femme de Jean Beaure demeurant la même maison.

Il faisait du vélo avec Armand Schulé et recevait quelques fois l’anarchiste Armand David. Il fréquentait Auguste Vaillant et tous les membres du Cercle philosophique dont il était lui aussi membre.

Emile Lenfant avait été perquisitionné par le commissaire de l’Odéon et arrêté le 2 mars 1894. La perquisition ne donna aucun résultat. Il fut libéré le 31 mars.

Il figura ensuite sur une liste d’anarchistes établie par la police des chemins de fer en vue de « surveillance aux frontières ». Il était à cette époque, semble-t-il, réfugié en Angleterre. Il correspondait avec sa maîtresse depuis Londres, lors de son exil en Angleterre.

Le 2 juillet, Emile Lenfant était mis à nouveau à la disposition de l’autorité judiciaire, dans le cadre d’une procédure pour association de malfaiteurs.

SOURCES :

Arch. Préf. pol. BA 1500, BA 1509 — Le Temps 3 mars 1894 — Note Rolf Dupuy.

ICONOGRAPHIE :

CIRA de Lausanne. Album photographique des individus qui doivent être l’objet d’une surveillance spéciale aux frontières [texte imprimé] / Alphonse BERTILLON . – Paris (France) : Imprimerie Chaix, 1894 . – 40 p. : ill. ; 21 cm.

SCHULE Armand, Philippe, Edmond

06 mercredi Sep 2017

Posted by fortunehenry2 in Biographies

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Né le 28 février 1873 à Choisy le Roi (Seine). Employé de commerce, célibataire. Anarchiste de Choisy le Roi.

Metropolitan museum of art. Alphonse Bertillon. Albumens silver prints. Photographs.

En 1888, Armand Schulé travaillait chez un receveur buraliste à Choisy puis ensuite pendant 6 ans comme comptable dans la maison Trochon, distillerie à Choisy.

Il était l’amant d’une couturière nommée Père.

Selon un rapport de police, Schulé se serait lié au début de l’année 1894 avec Emile Lenfant, un anarchiste de Choisy, céramiste, demeurant 8 rue de la Raffinerie qui lui aurait fait connaître Auguste Vaillant et les autres anarchistes de la localité. Schulé faisait du vélo avec Lenfant.

Mais dans une lettre au juge d’instruction Anquetil, Schulé donna une autre version : un dimanche d’août 1893, alors qu’il était dans le jardin de ses parents à Thiais, Vaillant engagea la conversation avec lui sur l’agriculture. Comme il sortait, Vaillant l’accompagna et lui parla d’astronomie. Armand Schulé se déclara fort intéressé par le sujet. Vaillant lui proposa de créer un cercle pour l’étudier. Schulé lui fit remarquer que la commune avait déjà une bibliothèque et qu’ils pouvaient en faire partie mais Vaillant ne voulut rien entendre, craignant de ne pas y trouver les livres nécessaires. Quelque temps après, le groupe fut fondé et les statuts du Cercle philosophique de Choisy dont fit partie Vaillant, déposés.

Schulé alla demander au 1er adjoint une salle à la mairie qui lui fut accordée. Il établirent un bureau où il tenait le poste de secrétaire-trésorier.

Deux conférences furent données : la première sur la végétation en Amérique, la seconde sur l’organisme humain.

Vaillant lui présenta Georges Munerel qu’il avait hébergé alors qu’il était sans travail et à qui il avait ensuite procuré une place à la faïencerie Boulenger.

Début novembre 1893, Vaillant leur annonça qu’il avait trouvé un bon emploi à Paris, il partit et Schulé ne le revit plus.

Le 21 avril 1894, Schulé se trouvait sur une liste des anarchistes de Choisy-le-Roi, son dossier portait le n°10208

Le 30 juin 1894, le préfet de police délivra un mandat de perquisition et d’amener à l’encontre de Schulé, pour association de malfaiteurs.

Le 1er juillet, le commissaire de police de Choisy-le-Roi se présenta à son domicile, 99 avenue de Paris, qu’il occupait avec ses parents au deuxième étage, composé de 5 pièces, d’une cuisine et d’une entrée. Sa chambre avait une entrée particulière sur le palier.

La perquisition amena la découverte de 7 exemplaires de la Révolte datés du 27 janvier 1894, de 9 exemplaires du même journal datés du 3 février 1894 et de 7 exemplaires du 4 mars 1894.

Il fut conduit au Dépôt où on lui déclara que maintenant qu’il avait été arrêté comme anarchiste, il le serait à nouveau, chaque fois qu’auraient lieu de nouvelles rafles.

Incarcéré à Mazas le 4 juillet, il fut mis en liberté provisoire le 10 juillet.

Le 8 novembre 1894, il figurait sur une liste des 10 anarchistes en surveillance quotidienne de la circonscription de Choisy-le-Roi.

Le 29 juin 1895, le juge d’instruction Meyer prononça une ordonnance de non lieu dans l’affaire d’association de malfaiteurs.

SOURCES :

Arch. de Paris D.3 U6 carton 50 Arch. Préf. de police Ba 1500

ROBIN Joseph, Hyppolite, Yves

05 mardi Sep 2017

Posted by fortunehenry2 in Biographies

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Né le 4 février 1854 à Bourgneuf (Loire-Inférieure). Célibataire, ouvrier terrassier. Anarchiste parisien.

Metropolitan museum of art. Alphonse Bertillon. Albumens silver prints. Photographs.

Joseph Robin avait tiré au sort à Bourgneuf, mais avait été exempté pour varices et classé dans les services auxiliaires.

Ouvrier terrassier chez Hillion, rue de Billancourt, il avait été occupé aux travaux de la rue de La Boétie et payé 0,50 centimes de l’heure.

Il fréquentait les réunions anarchistes, faubourg du Temple et de Grenelle et avait une grande influence sur les ouvriers terrassiers du quartier.

Arrêté une première fois le 1er août 1891, pour avoir tenté de débaucher les ouvriers qui travaillaient sur le pont d’Iena, il déclara aux agents qui étaient intervenus, en découvrant sa poitrine : « Si vous voulez du sang, en voilà ».

Le 28 février 1894, le préfet de police délivra un mandat de perquisition et d’amener à son encontre, pour association de malfaiteurs. Il était alors inscrit sur une liste d’anarchistes dangereux dressée par la préfecture de police.

Le 2 mars, à 6 h du matin, le commissaire de police du quartier Necker, se présenta au domicile de Robin, chez Mme Gorin, logeuse, 37 rue de Frémicourt dans une chambre située au 2e étage. La perquisition fit découvrir une adresse manuscrite écrite au crayon : « M. Le Baron, avocat à Versailles de la part de Constant Martin », ainsi que 6 exemplaires de la Révolte, 2 exemplaires du Père Peinard, un numéro de la Revue libertaire, un exemplaire de l’Almanach du Père Peinard et un appel de la Jeunesse internationaliste. Robin fut arrêté et conduit au Dépôt. Le 3 mars, il était incarcéré à Mazas.

Le 24 avril, il fut mis en liberté provisoire et le 22 juin 1895, le juge d’instruction Meyer, rendit une ordonnance de non-lieu dans l’affaire d’association de malfaiteurs.

SOURCES :

Arch. de Paris D.3 U6 carton 50 — Arch. Préf. pol. BA 1500 — Les anarchistes contre la République par Vivien Bouhey. Annexe 56 : les anarchistes de la Seine.

PONCHIA Albino dit Charles

04 lundi Sep 2017

Posted by fortunehenry2 in Biographies

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Né le 1er mai 1862 à Montanaro (province de Turin, Italie). Ouvrier menuisier, il vivait maritalement, de nationalité italienne. Anarchiste expulsé.

Metropolitan museum of art. Alphonse Bertillon. Albumens silver prints. Photographs.

Charles Ponchia était arrivé en France en 1883, probablement à la suite de son insoumission en Italie.

Le 13 décembre 1884, il contracta à Caen, un engagement de 5ans dans la Légion étrangère et fit partie du corps expéditionnaire du Tonkin. Atteint de dysenterie, il fut réformé en 1887, avec une gratification renouvelable de 180 francs, portée ensuite à 240 francs et la médaille commémorative du Tonkin.

Venu à Paris, il travailla notamment comme menuisier chez Magaud, entrepreneur de menuiserie, 189 rue St Maur. En septembre 1892, il demanda sa naturalisation mais n’obtint aucune réponse, n’ayant pas séjourné assez longtemps en France.

Il fréquenta avec des camarades d’atelier, les réunions du Cercle International, 13 rue Aumaire.

A la suite des attentats de Ravachol, 38 anarchistes étrangers furent expulsés. Un délai de 24 heures leur était donné pour quitter Paris et donner l’heure du train et leur destination, prouvant qu’ils respectaient l’arrêté.

Pour Charles Ponchia, l’arrêté d’expulsion fut pris le 29 mars 1892 et une perquisition pratiquée à son domicile, 12 rue de Pernelle, le 30 mars 1892 amena la découverte de quelques lettres et de cinq brochures socialistes ou anarchistes. Il fut conduit à la frontière belge le 2 avril suivant. Renvoyé de Belgique le 10 avril, il rentrait en France où sa présence fut tolérée.

Ponchia fut pendant les mois d’avril et mai 1894, l’objet d’une surveillance quotidienne qui ne révéla rien de concret.

Le 30 juin 1894, le préfet de police délivra un mandat de perquisition et d’amener à son encontre, pour association de malfaiteurs.

Le 1er juillet à 5 h45 du matin, le commissaire du quartier de la Porte St Denis, se présenta à son domicile 13 rue Marie et Louise où Albino Ponchia habitait depuis 3 mois, un petit appartement situé au 6e étage, au fond de la cour et composé de deux pièces. Il y demeurait en compagnie de sa maîtresse Eugénie Michaud 31 ans, domestique. La perquisition fit découvrir une lettre en italien que lui avait adressé le 19 mars 1893, par un nommé Merlu demeurant 16 via Carena à Turin et une liasse d’exemplaires du journal La Révolte de mars 1889 à octobre 1891.

Ponchia fut arrêté, conduit à la préfecture de police et emprisonné à Mazas le 4 juillet. Le 8 juillet le juge d’instruction Anquetil le fit mettre en liberté provisoire.

En 1894 son nom figurait sur une liste d’anarchistes établie par la police des chemins de fer en vue de la « surveillance aux frontières ».

Le 4 août 1894, il fut autorisé à résider en France.

Le 29 Juin 1895, le juge d’instruction Meyer délivra une ordonnance de non lieu dans l’affaire d’association de malfaiteurs.

En 1899, Ponchia figurait sur une liste d’anarchistes étrangers, son dossier portait le numéro 326467, il demeurait 85 faubourg du Temple.

SOURCES :

Arch. de Paris D.3 U6 carton 50 — Arch. Préf. pol. BA 77, BA 1500 — Etat signalétique des anarchistes étrangers expulsés de France, n°1, mars 1894 —  Notes Rolf Dupuy Le Petit Parisien 31 mars 1892 — Les anarchistes contre la République par Vivien Bouhey. Annexe 56 : les anarchistes de la Seine

ICONOGRAPHIE :

CIRA de Lausanne. Album photographique des individus qui doivent être l’objet d’une surveillance spéciale aux frontières [texte imprimé] / Alphonse BERTILLON . – Paris (France) : Imprimerie Chaix, 1894 . – 40 p. : ill. ; 21 cm.

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