• Accueil
  • Contact

Archives anarchistes

Archives anarchistes

Archives Mensuelles: décembre 2016

Fernand Pelloutier et Emile Pouget en relations d’affaires : société en commandite et imprimerie (4)

30 vendredi Déc 2016

Posted by fortunehenry2 in Documents

≈ Poster un commentaire

Après son exil londonien Emile Pouget fait paraître le journal La Sociale le 12 mai 1895

la_sociale2

Document Éphéméride anarchiste

La dernière page de l’hedomadaire indique : Le gérant E. Pouget. Imprimerie E. Pouget, 120 rue Lafayette, Paris.

Le 15 mars 1896, Pouget forme la Société en commandite E. Pouget et Cie, Société des journaux et publications populaires, 15 rue Lavieuville à Paris, pour une durée de 20 ans et un capital de 10.000 francs (Journal des papetiers en gros et en détail, des imprimeurs et des libraires, des relieurs et des cartonniers 1er mai 1896).

Le rapport de la Préfecture de police du 27 janvier 1897 note que Pouget est associé à Pelloutier pour la direction de la « Société des journaux et publications populaires » (Cette société a pour but l’exploitation des différents journaux anarchistes tels que « Le Monde nouveau » – « La Sociale » – « Le Père Peinard » – « La Clameur », qui ont leur siège au domicile de Pouget, 15 rue Lavieuville).

A partir du n°49 du 12 avril 1896, le gérant change, c’est P. Rogier qui prend la suite et l’imprimerie est toujours rue Lafayette.

Au n°50 du 15 avril 1896, nouvelle modification du gérant et du nom de l’imprimeur : J.-A Rogier, l’adresse est la même.

Au 59 du 21 juin 1896, le gérant-imprimeur devient A. Gauthey.

Au n°69 du 30 août 1896, le gérant-imprimeur est C. Favier qui le restera jusqu’au n°76 du 18 octobre 1896 qui sera le dernier. Jusque la fin l’adresse de l’imprimerie sera toujours identique.

Le n°1 de la 2e série du Père Peinard qui reparait le 25 octobre 1896, faisant suite à la Sociale, porte les mêmes mentions en fin de dernière page : gérant C. Favier. Imprimerie C. Favier 120 rue Lafayette Paris.

Mais au n°60 du 12 décembre 1897, si le gérant reste le même, l’adresse de l’imprimerie devient 15 rue Lavieuville, Paris et le restera jusqu’au dernier n° de la série le 1er mai 1899.

Cette adresse est celle de la rédaction et administration du journal (comme de la Sociale auparavant). Ce changement d’adresse est probablement motivé par la fin du bail du 120 rue de Lafayette comme le signalait le rapport de la Préfecture de police du 1er mai 1897.

Emile Pouget fit donc imprimer ses journaux La Sociale et le Père Peinard, du 12 mai 1895 au 5 décembre 1897 dans la même imprimerie située 120 rue Lafayette. Cette entreprise appartenait à la Société Lebaudy et Morain qui fut dissoute le 27 février 1897 (Journal des papetiers en gros et en détail, des imprimeurs et des libraires, des relieurs et des cartonniers 1er juillet 1897).

Pelloutier a fait l’acquisition en mars 1897, au prix de 5.700 francs, de l’ancienne imprimerie Lebaudy, 120 rue Lafayette, qu’il dirige en association avec Pouget et Daudet. (rapport de la Préfecture de police du 3 mai 1897).

Cette imprimerie occupe dix sept ouvriers, dont douze compositeurs. Tous, à l’exception de deux, sont des anarchistes. Ils tirent 11.000 numéros du Libertaire, 12.000 numéros du Père Peinard et 3.000 numéros de la revue L’Ouvrier des deux mondes. (rapport de la préfecture de police du 1er mai 1897).

Fernand Pelloutier et Emile Pouget en relations d’affaires en mai 1897 (3)

29 jeudi Déc 2016

Posted by fortunehenry2 in Documents

≈ Poster un commentaire

Préfecture de police

Contrôle général

Cabinet 1er bureau

N° 336.764

M. Pelloutier. Déclaration de gérance. Note N°6.523 du 24 avril 1897

Paris le 3 mai 1897

Les renseignements suivants ont été recueillis sur le Né Pelloutier Fernand, né à Paris le 1er octobre 1867, qui a déclaré au parquet le 20 avril dernier, avoir l’intention de publier, comme gérant, un journal mensuel ayant pour titre « La Revue naturiste », lequel est imprimé chez le déclarant, 120 rue Lafayette, et dont les bureaux sont situés 99 rue Souffley (?).

Le déclarant a déjà fait l’objet de deux rapports du Contrôle général, le dernier à la date du 10 mars dernier, il demeure, depuis le 15 avril dernier, non rue Lafayette 120, mais 11 rue Des deux Ponts où il occupe, avec sa mère et sa femme, un appartement d’un loyer annuel de 650 francs.

Précédemment il était domicilié 32 rue Levert.

Le sieur Pelloutier a fait l’acquisition en mars dernier, au prix de 5.700 francs, de l’ancienne imprimerie Lebaudy, 120 rue Lafayette, qu’il dirige en association avec les Nés Pouget et Daudet. Depuis ce changement de direction, l’ancien personnel a été congédié et remplacé par des ouvriers de nationalité étrangère.

C’est dans cette maison que seront imprimés à l’avenir les divers journaux du parti anarchiste.

Les nouveaux renseignements recueillis sur le compte du Sr Pelloutier confirment ceux précédemment transmis au cabinet.

Sa déclaration n’est pas sincère en ce qui concerne l’indication de son domicile, en outre elle n’est pas sérieuse, car il est le prête-nom de M. Stoël, directeur du journal précité.

Le contrôleur général

Archives de la Préfecture de police de Paris Ba 1216

Fernand Pelloutier et Emile Pouget en relations d’affaires en mai 1897 (2)

28 mercredi Déc 2016

Posted by fortunehenry2 in Documents

≈ Poster un commentaire

Préfecture de police

Cabinet

1er bureau

Copie d’un rapport 2e Brigade, signé Boudin.

Paris le 1er mai 1897

L’imprimerie acquise récemment par Pelloutier et consorts, rue Lafayette, 120 devra au mois de juillet prochain être transférée ailleurs, le bail étant sur le point d’expirer.

Pelloutier et ses associés espèrent s’installer dans le haut du Faubourg Poissonnière.

Ils occupent actuellement dix sept ouvriers, dont douze compositeurs. Tous, à l’exception de deux, sont des anarchistes. Ils tirent 11.000 numéros du Libertaire, 12.000 numéros du Père Peinard et 3.000 numéros de la revue L’Ouvrier des deux mondes.

Pelloutier n’a pas d’appointements fixes. On lui imprime gratuitement ce dernier ouvrage ce qui lui rapporte, assure-t-il, environ 350 francs par mois.

L’association ne veut en aucune façon faire concurrence à l’imprimerie Allemane mais par contre, elle cherchera par tous les moyens, même en perdant de l’argent sur certains travaux à nuire à l’association ouvrière dite « L’Imprimerie nouvelle » dont les ateliers sont situés rue Cadet, 11.

Archives de la Préfecture de police de Paris Ba 1216

 

Fernand Pelloutier et Emile Pouget en relations d’affaires en janvier 1897 (1)

27 mardi Déc 2016

Posted by fortunehenry2 in Non classé

≈ Poster un commentaire

Préfecture de police

Contrôle général

Cabinet. 1er bureau

Pelloutier Fernand. Déclaration de gérance

Note N° 964 du 23 courant

Paris le 27 janvier 1897

Les renseignements suivants ont été recueillis sur M. Pelloutier Fernand, Léonce, Emile, né à Paris le 1er octobre 1867, qui a déclaré au parquet, le 11 janvier courant, avoir l’intention de publier, comme gérant, un journal mensuel ayant pour titre : « L’Ouvrier des deux mondes« .

M. Pelloutier est célibataire (voir rapport 2e Brigade 25 décembre 1896), n’a pas d’enfants et demeure, depuis 2 ans, 32 rue Levert, où il occupe, en commun avec son frère, employé à la Préfecture de la Seine, un appartement d’un loyer annuel de 650 francs.

Précédemment, il habitait 250 rue des Pyrénées.

Le déclarant, qui a reçu une bonne instruction et est  très intelligent, est l’associé de l’anarchiste Pouget, pour la direction de la « Société des journaux et publications populaires » (Cette société a pour but l’exploitation des différents journaux anarchistes tels que « Le Monde nouveau » – « La Sociale » – « Le Père Peinard » – « La Clameur », qui ont leur siège au domicile de Pouget, 15 rue Lavieuville).

M. Pelloutier est secrétaire de différents groupes à la Bourse indépendante du travail, 80 rue de Bondy. C’est lui qui a signé, en cette qualité, les affiches qui ont été apposées à Paris et en province à l’occasion du 1er mai 1896.

Il collabore aux publications du groupe « L’Art social ».

Il a été délégué au Congrès ouvrier de Londres, et à l’inauguration de la Verrerie ouvrière d’Albi.

Les renseignements recueillis sur sa conduite et sa moralité ne sont pas défavorables.

Sa situation pécuniaire est aisée et son père, employé des Postes demeurant rue de la Douane, serait dans une bonne position de fortune.

Ses opinions politiques sont acquises au parti révolutionnaire.

Sa déclaration est sincère mais reste actuellement sans objet, le journal précité n’ayant pas encore paru.

Préfecture de police de Paris Ba 1216

Affiche annonçant la parution du n° 19 du journal « Le Cri du peuple »le 21 mars 1871

27 mardi Déc 2016

Posted by fortunehenry2 in Affiches, tracts

≈ Poster un commentaire

Collage de l’Acrate

« Journal politique quotidien ». Une feuille grand format, cinq colonnes à la page. Prix : 5 centimes. Rédacteur en chef : Jules Vallès. Principaux rédacteurs : Casimir Bouis, Jean-Baptiste Clément, Pierre Denis, Charles Rochat. Articles occasionnels de Bauer, Courbet, André Léo. Le n° 1 parut le 22 février, mais le journal fut supprimé par le général Vinoy le 11 mars, au n° 18. Le 19 mars, Vallès lança un nouveau journal, Le Drapeau, préparé pour tourner l’interdiction ; mais l’insurrection de la veille rendait cette précaution inutile, aussi fit-il reparaître Le Cri du Peuple, dont le n° 19 sortit le 21 mars. Il devait paraître régulièrement durant toute la Commune, jusqu’au n° 83 daté du mardi 23 mai 1871. Lire la suite ici

Affiche-tract du groupe Le Drapeau noir de Paris : « L’ennemi, c’est le maître! », octobre 1887

23 vendredi Déc 2016

Posted by fortunehenry2 in Affiches, tracts

≈ Poster un commentaire

Collage de l’Acrate – Cliquer sur l’image pour lire le texte

Affiche « Arrière les canons ! « 1938

22 jeudi Déc 2016

Posted by fortunehenry2 in Documents, Non classé

≈ Poster un commentaire

Collection E.B-C; taille 1m 24 x 84 cm

Papier monnaie pendant la guerre d’Espagne

21 mercredi Déc 2016

Posted by fortunehenry2 in Documents

≈ Poster un commentaire




Collection E.B-C

« Là où le strict rationnement et la monnaie officielle étaient refusés, est apparue la monnaie locale. Les villages qui l’adoptaient faisaient imprimer des bons ornés d’une gravure ou d’un simple cadre avec le nom de l’endroit, et l’indication : 1, 2, 5 ou 10 pesetas, parfois vingt-cinq ou cinquante centimes de pesetas, et cette monnaie fiduciaire était, toujours localement, aussi solide que la peseta officielle, garantie par le gouvernement de Valence. Elle avait même l’avantage de ne pas se dévaluer.
Toutefois, reconnaissons aussi qu’elle offrait l’inconvénient de n’être utilisable qu’à l’échelle locale. Cela n’échappait pas à nombre de ceux qui assumaient l’initiative de la reconstruction sociale. Ni, par exemple, aux habitants désireux de se déplacer. Dans ce dernier cas, le Comité de la Collectivité fournissait les pesetas nécessaires, ce qui permettait d’aller dans une région où la monnaie officielle faisait loi. Mais pour en finir avec la multitude de monnaies locales, le congrès des Collectivités d’Aragon (…) avait accordé à l’unanimité de supprimer totalement leur emploi et d’établir le rationnement égalitaire pour toutes les Collectivités aragonaises.
Ainsi fit-on éditer un carnet de ravitaillement familial, identique pour tous. »

Gaston Leval dans son livre : Espagne Libertaire 36-39 (Ed. du Monde Libertaire) p 210

Chronique de La Fédération jurassienne par Droz, indicateur de la Préfecture de police de Paris (4)

20 mardi Déc 2016

Posted by fortunehenry2 in Documents

≈ Poster un commentaire

Document Éphéméride anarchiste

La Chaux de Fonds 30 août 1880

L’amnistie a amené un revirement complet dans notre politique, en ce qui concerne l’élément français. A La Chaud de Fonds, excepté Pindy, Lefèvre, Jeanneret, tous nos proscrits sont rentrés en France.

Sans doute que ce n’est pas cela qui empêche le comité international de fonctionner et nos correspondants avec Paris, Londres, Bruxelles, Milan, Madrid, Leipsich, Moscou s’écrivent toujours avec une grande activité.

Il est question de transférer le siège du comité à Genève, et Pindy pousse les sections à y consentir, parce qu’il trouverait là-bas une situation beaucoup plus avantageuse, qu’il lui faut accepter avant le 5 septembre.

Je sais qu’à Genève, le comité marchera beaucoup plus activement : Drogomavoor (?), Costa, Grenlich, Perron, Brousse (de Paris) et jusqu’au père Blanqui ont fait des demandes en ce sens au comité central.

Le Comité international s’y tiendra malgré l’opposition des belges.

Benoit Malon a obtenu l’adhésion des autres sections en Europe et le travail de propagande sera très actif d’ici aux élections françaises de 1881.

Schwitzgebel, Chopard* et les autres suisses veulent transférer le comité à Genève car ils en comprennent l’utilité ; mais à la réunion, je ferai décider le transfèrement, je ne puis rien faire sans vos ordres, si toutefois vous croyez devoir m’en donner.

Droz

*voir CHOPARD Charles ou CHOPARD Adhémar

Archives de la Préfecture de police de Paris Ba 438

Chronique de La Fédération jurassienne par Droz, indicateur de la Préfecture de police de Paris (3)

20 mardi Déc 2016

Posted by fortunehenry2 in Documents

≈ Poster un commentaire

Document Éphéméride anarchiste

La Chaux de Fonds, 18 juin 1880

Vous avez dû lire dans vos journaux de Paris, un appel en faveur de notre ami mort proscrit au Locle et qui a laissé trois enfants sans ressources. Notre comité fera les fonds pour l’entretien de l’aîné. Eugène Jacot au Locle veut adopter le second et quant au troisième, la chambre de bienfaisance du Locle déclare qu’elle en prendra soin.

Dans notre réunion d’hier soir, il nous a été lu une lettre adressée à Lefrançais à Genève et que celui-ci nous a envoyé immédiatement ; elle venait de Paris, signée d’Amouroux, elle annonce que l’amnistie plénière est certaine et que le 15 du mois prochain, toute la proscription rentrera victorieuse en France. Pindy a alors déclaré que quant à lui, il ne rentrera pas, qu’il resterait à la Chaux de Fonds jusqu’au moment où le parti collectiviste aurait les rennes du pouvoir en France ; que le but du comité révolutionnaire étant la révolution européenne, la Suisse était mieux placée pour diriger ce mouvement, qui marchait à grands pas. Sans doute, a-t-il dit, l’amnistie nous sera d’une grande utilité pour le succès de notre cause, mais ici, nous ne redoutons aucune police et nous pouvons travailler fructueusement pour notre œuvre anarchiste.

Il nous a lu, ensuite, une lettre venant de Brismée de Bruxelles, dans laquelle ce compagnon dit qu’aux élections du 8 courant, il a obtenu 640 voix seulement et que son ami Brasseur en a eu 10 de plus. Ils ont fait une promenade dans la rue, le soir et tous les compagnons de Bruxelles y ont participé, avec le drapeau rouge en tête, ils étaient plus de 4.000. Il se plaint de ceux de Verviers qui ne marchent pas au gré de l’association belge, enfin il parle de l’amnistie probable en France.

Hirsch, que vous avez eu à Paris, a, aussi écrit à Pindy depuis Londres : il dit qu’il pense venir en Suisse pour le mois d’août et qu’il restera une quinzaine à Zurich, il dit qu’à Londres les collectivistes ne sont pas très d’accord et que Félix Pyat assure que l’amnistie déclarée, il ne rentrera à Paris que pour un jour de révolution.

Je n’ai pas pu m’empêcher de dire, en riant que c’était au contraire, ce jour-là que Félix Pyat se sauverait, et tous ceux de la section se sont mis à rire aussi, Pindy le premier.

Nous avons eu communication d’une lettre de Guiseppe de Franceschi, via Cappellari de Milan qui annonçait que le congrès socialiste qui devait se tenir là-bas a été interdit par l’autorité et il demande que les sections italiennes en Suisse, fassent des protestations imprimées en langue italienne et qu’elles demandent l’autorisation d’un nouveau congrès dans l’intérêt de la propagande.

Nous avons envoyé notre adhésion au programme que le Congrès régional de Bordeaux devra discuter le 22 de ce mois. Cette adhésion a été envoyée à Castaing, rue d’Arès, 203 à Bordeaux, c’est moi-même qui l’ai mise à la poste.

Lundi, nouvelle réunion.

Droz

Archives de la Préfecture de police de Paris Ba 438

← Articles Précédents

Menu

  • A propos
  • Affiches, tracts
  • Analyse
  • Biographies
  • Documents
  • Fortuné Henry
  • Illustrations
  • Inventaires
  • Journaux
  • Les anarchistes au comptoir de l'injustice
  • Non classé

Liens

  • 24 août 1944
  • Acratia-Acratie Anarchisme et utopie
  • Alexandre Jacob, l'honnête cambrioleur
  • Anarcoefemèrides
  • Anarlivres
  • Cartoliste
  • CIRA de Lausanne
  • CIRA de Marseille
  • Dictionnaire des militants anarchistes
  • Ephéméride anarchiste
  • Fragments d'histoire de la gauche radicale
  • Hemeroteca digital
  • James Guillaume
  • La Bande noire
  • La Bataille socialiste
  • La presse anarchiste
  • Le Maitron des anarchistes
  • Le Père Peinard dans les Ardennes
  • Les Giménologues
  • Lidiap List of digitized anarchist periodicals
  • Monde-nouveau
  • Mouvement révolutionnaire angevin
  • Racines et Branches.
  • Recherches sur l'anarchisme
  • Site international d’affiches anarchistes
  • Trop jeunes pour mourrir

Liens RSS

  • RSS - Articles
  • RSS - Commentaires
Follow Archives anarchistes on WordPress.com

Saisissez votre adresse e-mail pour vous abonner à ce blog et recevoir une notification de chaque nouvel article par e-mail.

Rejoignez 1 842 autres abonnés

Dossiers thématiques

  • Chroniques de La Fédération jurassienne de L’Internationale par Droz, indicateur de la Préfecture de police de Paris
  • Contre enquête sur le cas de Serraux-Spilleux accusé d’être un agent du préfet de police Louis Andrieux
  • Documents saisis chez Pedro Vallina le 25 juin 1903
  • Girier-Lorion
  • Inédit. La vie quotidienne de Ravachol à la Conciergerie
  • L’affaire de fabrication d’explosifs à Lyon pour le 1er mai 1890
  • L’anarchisme en Algérie
  • L’anarchiste Druelle était-il l’agent Sabin de la préfecture de police ?
  • L’indicateur et l’atelier de préparation des explosifs : l’affaire Cadeaux. Lyon mai-juin 1890
  • L’internationale anti-autoritaire en France
  • L’organisation anarchiste
  • La chambre syndicale des hommes de peine du département de la Seine
  • La presse anarchiste belge
  • La section de l’Internationale de Bruxelles.
  • La vie de Fortuné Henry et la colonie d’Aiglemont
  • Le Congrès ouvrier communiste-anarchiste de la région du Midi à Sète 1881
  • Le groupe de femmes « Louise Michel-Marie Ferré » de Lyon
  • Le Mouvement Anarchiste de 1870 à nos jours par Anne-Léo Zévaès
  • Le procès des trente : un fiasco judiciaire
  • Les anarchistes à Angers : premières victimes des lois scélérates
  • Les anarchistes dans la province de Liège (Belgique)
  • Les anarchistes dans les Ardennes
  • Les anarchistes de Bordeaux
  • Les anarchistes de l’Aisne
  • Les anarchistes de l’Aube
  • Les anarchistes de l’Hérault
  • Les anarchistes de Marseille
  • Les anarchistes de Roubaix
  • Les anarchistes des Alpes-Martimes
  • Les anarchistes du Lot et Garonne, du Gers et du Lot
  • Les anarchistes en Belgique avant les émeutes de 1886
  • Les anarchistes et les syndicats
  • Les anarchistes lyonnais dans la Fédération nationale des syndicats ouvriers
  • Les attentats anarchistes
  • Les émeutes de Liège et du bassin de Seraing (Belgique). Mars 1886
  • Les imprimeries anarchistes
  • Les Naturiens, des anarchistes précurseurs de l’écologie politique
  • Les procès des anarchistes lyonnais. janvier et mars 1883
  • Les rafles d’anarchistes
  • Lettres de Louis Hébrard de Sète à Victorine Rouchy de Paris
  • Louise Michel
  • L’attentat contre la statue de Thiers à Saint-Germain le 16 juin 1881
  • Madeleine Pelletier, fondatrice à 15 ans du groupe anarchiste « La femme libre »
    • JAMIN Henri, Léon, Eugène, menuisier, professeur de trait, syndicaliste, anarchiste, mentor de Madeleine Pelletier
  • Paul Curien et l’attentat contre Jules Ferry le 16 novembre 1883
  • Qui dénonça Ravachol à la police ?
  • Une colonie anarchiste : Tarzout (Algérie).

Propulsé par WordPress.com.

Annuler

 
Chargement des commentaires…
Commentaire
    ×